S’il y a mille et une raison d’entrer en maçonnerie, une plus que d’autres justifie de s’y engager : le bien commun.
Dans un monde où les individualités supplantent l’intérêt collectif et ou l’immédiateté du profit annihile toute gestion à terme de nos ressources, la Franc-maçonnerie offre la neutralité d’un cercle de réflexions. Elle tente, depuis le siècle des Lumières, à placer l’Homme au centre de l’Humanité. Ce regard sur le monde et donc sur les autres, se concrétise notamment par :
• Une interrogation personnelle où le respect de soi passe par le respect de l’autre.
• Une volonté de réfléchir ensemble sur l’avenir d’une humanité plus juste.
• Le désir de construire la société de demain.
Ceci demande de la générosité, du courage, de l’abnégation et un regard utopiste sur le monde, non pas pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il pourrait devenir. Sur cette utopie se retrouvent les Francs-Maçons, ces femmes et ces hommes de toutes couleurs, de toutes religions, de toutes philosophies et de tous niveaux sociaux. Ils veulent devenir acteurs de leur époque et non plus spectateurs. Pour atteindre ce but, il faut trouver dans l’espérance la volonté et l’énergie de bâtir pour les générations futures.
Si ce choix de vie, car c’en est un, s’annonce difficile c’est que justement, pour se convaincre, la raison ne suffit pas. Il faut lui ajouter les raisons du cœur. Car, si la démarche philosophique consiste à expliquer les idées, la franc-maçonnerie travaille à réunir les hommes.